Bonjour chères audacieuses,
5ème article et presque la transcription de l’épisode 5 de mon podcast « Osez une autre voie », disponible sur toutes vos plateformes préférées :
Introduction
J’espère que vous êtes en pleine forme, que vous avez peut-être eu des déclics avec les précédents articles, que vous avez peut-être pris conscience de vos croyances, que vous avez pu regarder votre parcours sous un nouvel angle ou que simplement pour l’instant vous vous laissez bercer par les lectures. En tout cas, quelle que soit votre réponse et/ou vous en êtes, pensez à me partager vos retours en commentaire ou par mail, peu importe l’ordre dans lequel vous les lisez ou que vous avez envie de les lire, de les suivre ou même quand vous le ferez, peu importe, je serai toujours heureuse de vous lire et d’échanger avec vous.
Aujourd'hui, je vais vous parler du sport et plutôt du mouvement
Pour moi et pas seulement, des thérapeutes ou des coachs vous le diront aussi, bouger, remuer, danser est nécessaire dans notre quotidien, surtout pour nous les occidentaux où nous sommes trop sédentaires et trop longtemps assis. D’ailleurs, j’enregistre tous mes épisodes de podcast debout ce qui me permet de bouger, de remuer, de parler avec mes mains, d’avoir plus de souplesse, de liberté et mieux respirer.
Et vous, que faites-vous dans la journée ? Avez-vous des moments où vous bougez votre corps en conscience ? Est-ce que vous faites quelques mouvements, quelques étirements dans votre bureau entre deux rendez-vous ou lorsque vous avez été plus de deux heures focalisée sur votre écran ? Oui ? Non ? Peut-être ? Pas encore ? Ce n’est pas grave,vous pouvez toujours commencer dès aujourd’hui.
Peu importe le moment où l’on commence, il vaut mieux en prendre conscience et commencer quand le déclic a lieu. Pour moi aussi, cela s’est fait tardivement.
Laissez vous guider par cette histoire qui est la mienne et comment mes croyances sur le sport ont évolué avec le temps.
Il était une fois une petite fille qui n’aimait pas le sport à l’école. Elle n’était pas à l’aise, elle n’était pas la meilleure pour la course, pour le saut d’obstacle, pour monter à la corde, bref, tout ces exercices imposées à l’école au cours de gymnastique à son époque. Elle n’y trouvait aucun plaisir, cela la faisait juste transpirer, s’essouffler. Franchement, ce n’était pas le meilleur moment de sa vie.
Le seul moment qu’elle appréciait, c’était lorsqu’il y avait de la danse et lorsqu’elle avait fait de la danse. Et, même si on lui répétait constamment, bouger, faire du sport, c’est bon pour la santé, ce n’était pas sa croyance suite à plusieurs incidents :
1°) Le premier, il a eu lieu avec les barres asymétriques qui n’avaient pas été réglées correctement vu sa grande taille et elle s’était blessée.
2°) Et, il y avait encore eu un autre souci avec le cheval d’arçon qui n’avait pas été placé à la bonne distance.
3°) Enfin, en troisième, lors d’un match de handball, elle a mal réceptionné le ballon et il y a eu une rupture du tendon à l’annulaire même si le diagnostic n’a été posé que 2-3 mois plus tard. Heureusement, une opération a pu être réalisée avec succès et que son tendon a pu être remis à sa place. Il a fallu encore un an de kiné, de mouvements et autres pour qu’elle a puisse retrouver toute la mobilité de ce doigt.
Donc, sa croyance était plutôt que le sport, ce n’était pas forcément bon pour la santé.
Or il faudra au moins plus de dix ans pour que cela commence à changer.
En effet, elle a commencé le yoga car elle avait besoin de se détendre. De plus, elle commençait de nouveau à avoir des angoisses, des paniques et notamment des angoisses respiratoires où elle était obligée d’ouvrir les fenêtres quand elle n’arrivait plus à respirer pour que symboliquement sa cage thoracique puisse se détendre et puisse s’ouvrir. Or avec le yoga, même si ce n’est pas forcément le premier bénéfice attendu, cela lui a permis au bout de six mois d’apprendre et de découvrir comment bailler ce qui a été un 1er déclic vraiment important car enfin elle avait réussi grâce à cette pratique à pouvoir pleinement et vraiment bailler et donc ouvrir enfin sa cage thoracique. Grâce à ce bienfait, elle a pu continuer et rester motivée pour continuer cette pratique du yoga. Mais, elle a déménagé et il a fallu qu’elle retrouve d’autres cours de yoga. Puis finalement, elle s’est orientée vers le Qi gong et de temps en temps le Tai Chi, selon sa disponibilité au travail. Or ces 2 pratiques lui faisait du bien, même si en apparence c’était beaucoup plus doux que d’autres sports où il n’y avait pas de chronomètre, de compétition, et où chacun faisait en fonction de ses possibilités et de son énergie du moment. Grâce au Tai Chi, elle a pu se reconnecter et sentir dans ses mains et avec ses mains le Qi, cette boule d’énergie dont parle les asiatiques dans cette pratique.
Cependant, elle n’arrivait pas à la ressentir cette boule d’énergie dans les autres mouvements, postures du Tai Chi, ce qui la frustrait. Et elle était consciente que même des pratiques comme le Tai Chi, le yoga ou le Qi gong peuvent vraiment être bienfaisantes pour le corps et le mental. En plus, ces pratiques beaucoup plus adaptées à chacun et avec les bienfaits qu’elle en ressentait à chaque fois, elle restait motivée pour continuer à prendre soin d’elle en le faisant le plus régulièrement possible, même si à l’époque, ce n’était qu’une ou deux fois par semaine. Cela n’avait plus rien à voir avec la philosophie sportive de l’école. Ensuite, elle a voulu changer car, avec le Tai Chi, elle n’arrivait pas à aller jusqu’au bout, et elle a donc essayé le Pilates. Elle a pu commencer à faire les exercices avec différents professeurs jusqu’au moment de la Covid. Heureusement, une professeure a pu faire des vidéos très détaillées où elle prenait le temps de préciser comment se positionner, quelle était la bonne posture à avoir, voire elle proposait des variantes pour que tout le monde puisse faire la posture adaptée à sa morphologie ou à ses problèmes du moment. La professeure voulait s’assurer que la bonne posture serait pratiquée et elle insistait sur les points à vérifier pour éviter de se faire mal ou de prendre de mauvaises postures, ce qui rassurait même les débutants. D’ailleurs, si elle faisait des pratiques avec des professeurs, c’est parce qu’elle avait cette croyance que si elle le faisait seule, elle allait forcément se faire mal, ou ne pas les faire correctement ou qu’elle pourrait avoir une mauvaise posture qui à terme pourrait lui faire plus de mal que de bien car ses vieux souvenirs de l’école revenaient à elles inconsciemment.
Or, en faisant peu à peu, pendant tous ces mois de Covid, ces exercices en vidéo, elle a pris de plus en plus confiance en elle et elle a fini par être fière de pouvoir faire ces exercices peu à peu toute seule sans avoir besoin de regarder les vidéos, (elle les avait suffisamment ancrés en elle avec toutes les postures possibles et les points de vigilance à avoir). Puis grâce aussi au livre du Miracle Morning d’Hal Elrod qui donnait lui aussi quelques exercices en exemple, elle a pu se constituer toute une liste d’exercices qu’elle pouvait faire suivant l’heure à laquelle elle se levait et le temps qu’elle avait pour les faire, mais aussi en fonction de ses envies du moment. Donc elle piochait dans cette liste d’exercices pour les varier même si elle avait quand même ses préférés qu’elle faisait tous les jours ou suffisamment régulièrement pour que peu à peu ce rituel matinal devienne une habitude, devienne comme une addiction mais une bonne addiction et qu’elle y trouve du plaisir. En effet, à chaque fois elle se sentait mieux et elle commençait sa journée bien plus en forme. Et l’avantage c’est que certains de ces exercices lui permettaient aussi dans la journée de pouvoir faire des pauses car en restant assise ou en position lotus lors de ces séances, ce n’était pas suffisant ni de bonnes postures à long terme car le corps a besoin de bouger, de s’étirer. Peu à peu, elle a pris conscience qu’elle pouvait faire quelques étirements, quelques mouvements dans la journée, sans que cela lui prenne beaucoup de temps et cela lui permettait de redonner de la souplesse à son corps, de pouvoir décharger les tensions qui s’étaient accumulées (en regardant l’écran ou en restant trop figée à un moment donné). Finalement, c’est faire comme quand on est enfant et qu’instinctivement, on bouge, se tortille, rampe,… car c’est naturel et rappelons-nous que peu à peu, avec l’âge, on s’ankylose et peu à peu, avec les douleurs, on n’ose plus bouger alors qu’au contraire la plupart du temps, il faut continuer à bouger pour retrouver un bien-être.
Donc, trouvez votre pratique, faites la en douceur, peut-être qu’au début vous aurez besoin d’un kiné ou d’un professeur pour savoir quelles sont les postures adaptées à vous, et pour qu’ils vous trouvent les bons mouvements afin que vous puissiez vous aussi vraiment y trouver du plaisir, retrouver de la souplesse, de l’énergie et que votre corps puisse retrouver aussi un bien-être.
Et peu à peu, à force de travailler sur ces exercices, elle s’est rendue compte qu’effectivement, faire du sport, ce n’était pas forcément que du sport de haut niveau, ni d’envisager un marathon ou des compétitions, que ce n’était pas forcément que la course, les sauts d’obstacles, le basket, ou le handball,… mais que cela pouvait être simplement des mouvements, de postures de yoga, des mouvements de tai-chi, ou de pilates. Et cela peut être aussi simplement danser ou danser par moments pour changer, marcher chaque jour. Pour rappel, il vaut mieux en faire un peu moins chaque jour que faire dix mille pas, seulement une fois de temps en temps, une fois par semaine ou faire que deux heures de sport intensif seulement une fois par semaine. Comme dirait Fabrice Midal, foutez-vous la paix, et si vous ne pouvez marcher que cinq minutes, si vous ne pouvez faire que des étirements de cinq minutes pour commencer ou vous remettre en mouvement alors commencez peu à peu que pas du tout ou trop irrégulièrement.
Pour moi cela a changé la donne de savoir que des pratiques qu’on disait plutôt douces, étaient tout aussi bonnes pour le corps et qu’il valait mieux en faire un peu chaque jour, (ce que j’ai mis en place par des rituels qui sont devenus mes habitudes du matin ou de la journée), que beaucoup une seule fois. Finalement, bouger ou faire du sport, c’est comme se laver les dents, c’est à faire tous les jours. Maintenant, essayez, testez, trouvez votre formule qui va vous convenir, le professeur qui va peut-être vous donner le déclic, faites-vous accompagner par une amie,… pour vous aider au début à rester motivée.
Si vous avez d’autres pratiques, d’autres rituels, d’autres sports qui vous font du bien, qui vous ont changé la vie, pensez à le partager ou à le mettre en commentaire afin que l’on puisse en discuter, que je puisse en reparler pourquoi pas lors d’un prochain article/épisode pour aider d’autres femmes à trouver le sport, le mouvement qui leurs conviendront, au moment où cela leurs convient le mieux et d’arriver à garder cette motivation tous les jours.
Et même si vous ne le faites pas tous les jours, soyez indulgente, bienveillante, rappelez-vous les 6 ingrédients de l’épisode/article 2. Moi aussi, au début ou lorsque je suis en vacances ou chez des amis, je ne peux pas forcément faire tous mes rituels, tous mes exercices et au début j’avais peur de ne pas arriver à m’y remettre, à les refaire. Or, là aussi, c’était une croyance, même si les premiers jours, suivant le temps de pause qui s’est passé, cela peut être un peu plus difficile à reprendre par exemple pour moi, les postures d’abdominaux, petit à petit cela revient et à chaque fois c’est un vrai kif, un vrai bonheur de retrouver cette souplesse, ce bienfait et cette fierté de pouvoir refaire ces exercices alors que j’aurai pensé cela impossible il y a quelques années. Je croyais que je n’étais pas faite pour le sport, je ne me sentais vraiment pas douée avec le sport.
Donc changez aussi votre croyance, votre regard sur le sport et le mouvement et tentez l’expérience. En tout cas, je vous souhaite de trouver quelque chose qui vous convienne, une pratique faite et adaptée pour vous, qui vous redonnera le sourire, confiance en vous et la souplesse dont vous avez besoin et qui vous donnera aussi de la souplesse pour votre quotidien.
Très belle journée, magnifique week-end et je vous dis à la semaine prochaine.
Et en attendant le prochain article, prenez soin de vous.
Et ce fut possible grâce à une professeure de yoga, Mélanie.
En effet, elle a commencé le yoga car elle avait besoin de se détendre. De plus, elle commençait de nouveau à avoir des angoisses, des paniques et notamment des angoisses respiratoires où elle était obligée d’ouvrir les fenêtres quand elle n’arrivait plus à respirer pour que symboliquement sa cage thoracique puisse se détendre et puisse s’ouvrir. Or avec le yoga, même si ce n’est pas forcément le premier bénéfice attendu, cela lui a permis au bout de six mois d’apprendre et de découvrir comment bailler ce qui a été un 1er déclic vraiment important car enfin elle avait réussi grâce à cette pratique à pouvoir pleinement et vraiment bailler et donc ouvrir enfin sa cage thoracique. Grâce à ce bienfait, elle a pu continuer et rester motivée pour continuer cette pratique du yoga. Mais, elle a déménagé et il a fallu qu’elle retrouve d’autres cours de yoga. Puis finalement, elle s’est orientée vers le Qi gong et de temps en temps le Tai Chi, selon sa disponibilité au travail. Or ces 2 pratiques lui faisait du bien, même si en apparence c’était beaucoup plus doux que d’autres sports où il n’y avait pas de chronomètre, de compétition, et où chacun faisait en fonction de ses possibilités et de son énergie du moment. Grâce au Tai Chi, elle a pu se reconnecter et sentir dans ses mains et avec ses mains le Qi, cette boule d’énergie dont parle les asiatiques dans cette pratique.
Cependant, elle n’arrivait pas à la ressentir cette boule d’énergie dans les autres mouvements, postures du Tai Chi, ce qui la frustrait. Et elle était consciente que même des pratiques comme le Tai Chi, le yoga ou le Qi gong peuvent vraiment être bienfaisantes pour le corps et le mental. En plus, ces pratiques beaucoup plus adaptées à chacun et avec les bienfaits qu’elle en ressentait à chaque fois, elle restait motivée pour continuer à prendre soin d’elle en le faisant le plus régulièrement possible, même si à l’époque, ce n’était qu’une ou deux fois par semaine. Cela n’avait plus rien à voir avec la philosophie sportive de l’école. Ensuite, elle a voulu changer car, avec le Tai Chi, elle n’arrivait pas à aller jusqu’au bout.
elle a donc essayé le Pilates.
Elle a pu commencer à faire les exercices avec différents professeurs jusqu’au moment de la Covid. Heureusement, une professeure a pu faire des vidéos très détaillées où elle prenait le temps de préciser comment se positionner, quelle était la bonne posture à avoir, voire elle proposait des variantes pour que tout le monde puisse faire la posture adaptée à sa morphologie ou à ses problèmes du moment. La professeure voulait s’assurer que la bonne posture serait pratiquée et elle insistait sur les points à vérifier pour éviter de se faire mal ou de prendre de mauvaises postures, ce qui rassurait même les débutants. D’ailleurs, si elle faisait des pratiques avec des professeurs, c’est parce qu’elle avait cette croyance que si elle le faisait seule, elle allait forcément se faire mal, ou ne pas les faire correctement ou qu’elle pourrait avoir une mauvaise posture qui à terme pourrait lui faire plus de mal que de bien car ses vieux souvenirs de l’école revenaient à elles inconsciemment.
Or, en faisant peu à peu, pendant tous ces mois de Covid, ces exercices en vidéo, elle a pris de plus en plus confiance en elle et elle a fini par être fière de pouvoir faire ces exercices peu à peu toute seule sans avoir besoin de regarder les vidéos, (elle les avait suffisamment ancrés en elle avec toutes les postures possibles et les points de vigilance à avoir). Puis grâce aussi au livre du Miracle Morning d’Hal Elrod qui donnait lui aussi quelques exercices en exemple, elle a pu se constituer toute une liste d’exercices qu’elle pouvait faire suivant l’heure à laquelle elle se levait et le temps qu’elle avait pour les faire, mais aussi en fonction de ses envies du moment. Donc elle piochait dans cette liste d’exercices pour les varier même si elle avait quand même ses préférés qu’elle faisait tous les jours ou suffisamment régulièrement pour que peu à peu ce rituel matinal devienne une habitude, devienne comme une addiction mais une bonne addiction et qu’elle y trouve du plaisir. En effet, à chaque fois elle se sentait mieux et elle commençait sa journée bien plus en forme. Et l’avantage c’est que certains de ces exercices lui permettaient aussi dans la journée de pouvoir faire des pauses car en restant assise ou en position lotus lors de ces séances, ce n’était pas suffisant ni de bonnes postures à long terme car le corps a besoin de bouger, de s’étirer. Peu à peu, elle a pris conscience qu’elle pouvait faire quelques étirements, quelques mouvements dans la journée, sans que cela lui prenne beaucoup de temps et cela lui permettait de redonner de la souplesse à son corps, de pouvoir décharger les tensions qui s’étaient accumulées (en regardant l’écran ou en restant trop figée à un moment donné). Finalement, c’est faire comme quand on est enfant et qu’instinctivement, on bouge, se tortille, rampe,… car c’est naturel et rappelons-nous que peu à peu, avec l’âge, on s’ankylose et peu à peu, avec les douleurs, on n’ose plus bouger alors qu’au contraire la plupart du temps, il faut continuer à bouger pour retrouver un bien-être.
Donc, trouvez votre pratique, faites la en douceur, peut-être qu’au début vous aurez besoin d’un kiné ou d’un professeur pour savoir quelles sont les postures adaptées à vous, et pour qu’ils vous trouvent les bons mouvements afin que vous puissiez vous aussi vraiment y trouver du plaisir, retrouver de la souplesse, de l’énergie et que votre corps puisse retrouver aussi un bien-être.
Et peu à peu, à force de travailler sur ces exercices, elle s’est rendue compte qu’effectivement, faire du sport, ce n’était pas forcément que du sport de haut niveau, ni d’envisager un marathon ou des compétitions, que ce n’était pas forcément que la course, les sauts d’obstacles, le basket, ou le handball,… mais que cela pouvait être simplement des mouvements, de postures de yoga, des mouvements de tai-chi, ou de pilates. Et cela peut être aussi simplement danser ou danser par moments pour changer, marcher chaque jour. Pour rappel, il vaut mieux en faire un peu moins chaque jour que faire dix mille pas, seulement une fois de temps en temps, une fois par semaine ou faire que deux heures de sport intensif seulement une fois par semaine. Comme dirait Fabrice Midal, foutez-vous la paix, et si vous ne pouvez marcher que cinq minutes, si vous ne pouvez faire que des étirements de cinq minutes pour commencer ou vous remettre en mouvement alors commencez peu à peu que pas du tout ou trop irrégulièrement.
Conclusion
Pour moi cela a changé la donne de savoir que des pratiques qu’on disait plutôt douces, étaient tout aussi bonnes pour le corps et qu’il valait mieux en faire un peu chaque jour, (ce que j’ai mis en place par des rituels qui sont devenus mes habitudes du matin ou de la journée), que beaucoup une seule fois. Finalement, bouger ou faire du sport, c’est comme se laver les dents, c’est à faire tous les jours. Maintenant, essayez, testez, trouvez votre formule qui va vous convenir, le professeur qui va peut-être vous donner le déclic, faites-vous accompagner par une amie,… pour vous aider au début à rester motivée.
Si vous avez d’autres pratiques, d’autres rituels, d’autres sports qui vous font du bien, qui vous ont changé la vie, pensez à le partager ou à le mettre en commentaire afin que l’on puisse en discuter, que je puisse en reparler pourquoi pas lors d’un prochain article/épisode pour aider d’autres femmes à trouver le sport, le mouvement qui leurs conviendront, au moment où cela leurs convient le mieux et d’arriver à garder cette motivation tous les jours.
Et même si vous ne le faites pas tous les jours, soyez indulgente, bienveillante, rappelez-vous les 6 ingrédients de l’épisode/article 2. Moi aussi, au début ou lorsque je suis en vacances ou chez des amis, je ne peux pas forcément faire tous mes rituels, tous mes exercices et au début j’avais peur de ne pas arriver à m’y remettre, à les refaire. Or, là aussi, c’était une croyance, même si les premiers jours, suivant le temps de pause qui s’est passé, cela peut être un peu plus difficile à reprendre par exemple pour moi, les postures d’abdominaux, petit à petit cela revient et à chaque fois c’est un vrai kif, un vrai bonheur de retrouver cette souplesse, ce bienfait et cette fierté de pouvoir refaire ces exercices alors que j’aurai pensé cela impossible il y a quelques années. Je croyais que je n’étais pas faite pour le sport, je ne me sentais vraiment pas douée avec le sport.
Donc changez aussi votre croyance, votre regard sur le sport et le mouvement et tentez l’expérience. En tout cas, je vous souhaite de trouver quelque chose qui vous convienne, une pratique faite et adaptée pour vous, qui vous redonnera le sourire, confiance en vous et la souplesse dont vous avez besoin et qui vous donnera aussi de la souplesse pour votre quotidien.
Très belle journée, magnifique week-end et je vous dis à la semaine prochaine.
Et en attendant le prochain article, prenez soin de vous.