Introduction

Bonjour chères audacieuses,

Je vais enfin rédiger de nouveaux articles car ma newsletter hebdomadaire est en place depuis le 1/1/2024 et mon podcast « Osez une autre voie », hebdomadaire, lui aussi finalement, est en ligne depuis le 9/02/2024.

Et grâce aux épisodes 0 et 1 du podcast, vous pouvez désormais en savoir plus sur moi.

D’ailleurs, dans l’épisode 0, je vous explique aussi pourquoi je vous appelle les « Audacieuses », pourquoi je m’adresse à vous mesdames plus particulièrement, pourquoi j’ai choisi ce nom de podcast et le visuel.

Alors c’est parti : soit vous pouvez directement l’écouter depuis votre plateforme préférée:

soit vous pouvez la lire via une transcription un peu réajustée pour cet article.

Pourquoi les audacieuses ?

Parce que je suis persuadée que si l’on entend une personne et/ou l’écoute au moins une fois par semaine nous répéter que nous sommes audacieuses, alors nous finissons par l’intégrer dans notre cerveau, dans nos cellules, à y croire et à agir comme une audacieuse.
D’ailleurs, rappelez-vous ce que l’on vous répétez tout le temps quand vous étiez enfant.
Selon ce que l’on vous répétait, je suis sûre que cela a fini par s’intégrer en vous et que vous avez agi de la sorte, non ? Alors, je vais vous le répéter à chaque fois dans mon podcast et je vous appellerai les audacieuses, car je suis sûre que vous l’avez été, mais que vous ne vous en rappelez peut-être pas. Et comme moi, revoir votre parcours sous un nouvel angle, celui de l’audace, vous ouvrira de nouvelles voies, de nouvelles perspectives. En tout cas, je vous le souhaite. Et c’est pourquoi, c’est le 1er exercice que je vous propose, si vous le souhaitez et qui vous permettra d’avoir un autre regard sur votre parcours et « vous-m’aime ».

Quelle est mon intention pour vous en 2024 ?

C’est d’oser enfin prendre soin de vous, d’oser prendre du temps pour vous, voire oser être vous-m’aime et oser vous mettre en priorité dans votre agenda. Et, peu à peu, vous devriez voir les changements qui vont s’opérer en vous et autour de vous.

A qui je m'adresse plus particulièrement ?

A vous, mesdames, parce que je suis une femme, que j’étais comme vous avant et même encore aujourd’hui j’apprends sur moi, je travaille sur moi mais j’ai réussi et j’en suis fière à changer, à adapter beaucoup plus mon agenda en fonction de moi et plus des autres et même si je suis encore perfectionniste, je ne suis plus ultra perfectionniste, je ne dis plus toujours oui aux autres pour dire OUI en priorité à mes envies ou mes besoins. Je ne fais plus tout pour les autres en premier et je pense à moi d’abord. Or, si j’ai réussi à changer, vous aussi, vous le pouvez.

Mon parcours

Voici mon parcours dans les grandes lignes sous un autre regard, celui d’aujourd’hui et avec l’audace dont je ne me croyais pourtant pas capable à l’époque. J’espère que cela va vous inspirer pour vous aussi revoir votre parcours et découvrir toute l’audace dont vous avez été capable par le passé sans vous juger ni vous comparer.

  • J’ai osé partir à Lyon après un DEUG (bac+2) en Administration Economique et Sociale à Blois afin de continuer mes études avec une spécialité en commerce international.

  • A la fin de ce master, j’ai osé postuler à un stage en commerce international pour un grand groupe industriel qui était sur Paris, (et je l’ai appris qu’après ils prenaient surtout des personnes des écoles de commerce).

  • À la fin de ce stage d’environ six mois sur Paris, j’ai osé demander à continuer mon stage dans la filiale en Espagne afin de pouvoir perfectionner mon espagnol. (C’était aussi une manière de faire un peu un Erasmus, que je n’avais pas pu faire car j’avais changé de région entre mon DEUG et mon master). Et finalement, je suis partie à Madrid.

  • De 6 mois en Espagne, j’y suis restée finalement 6 ans. Et à la fin de ses 6 ans, j’ai décidé de revenir sur Paris. C’est pourquoi, j’ai osé postulé pour un poste dans la qualité, alors que je n’y connaissais rien. C’est d’ailleurs, grâce à une collègue en Espagne que j’ai découvert ce que c’était et ce que cela comprenait. Et finalement, je me suis rendu compte que j’en faisais un peu sans le savoir déjà.

  • J’ai été prise et je suis donc retournée à Paris où j’ai travaillé pendant 3 ans dans la qualité, après une formation en interne et avec l’Afnor, pour mettre en place le système qualité dans un secteur de ce grand groupe. J’ai découvert les audits, les processus, l’amélioration continue, … Je me suis sentie très vite à l’aise.

  • Mais 5 ans après mon retour d’Espagne, j’ai osé profiter du plan social pour quitter le groupe et compléter cette formation en qualité avec une certification en Supply chain, ou chaîne logistique en français.

  • J’ai d’ailleurs eu une seule expérience dans ce domaine. Du coup, j’ai osé revenir en arrière et revenir à la qualité pour un bailleur social où je suis restée pendant presque 7 ans, jusqu’à mon burn-out et ma rupture conventionnelle.

  • Début 2020, j’ai fait un burnout et après les 6 mois, plus ou moins, d’analyse et de thérapie, j’ai finalement décidé de ne pas démissionner mais de demander une rupture conventionnelle, ce qui m’a permis de faire une formation en librairie.

  • A la fin de cette formation pour gérer ou reprendre une librairie, j’ai osé pendant 1 an, découvrir ce monde de la librairie, pouvoir faire des stages et des CDD aussi bien à Paris qu’en province, pour vraiment voir toutes les facettes de ce métier, les différences entre la province et Paris. Cela m’a permis également de découvrir des librairies généralistes, spécialisée dans la jeunesse ou dans les langues notamment l’espagnol. Et cela a vraiment été une belle année car elle m’a redonnée confiance en moi, dans les autres, dans le travail et l’amour du livre qui ne m’avait jamais quitté. En plus, c’était une occasion de pouvoir réaliser mon rêve d’adolescente, puisque je rêvais de faire bibliothécaire ou libraire. Or selon les conseillers d’orientation de l’époque, c’était un monde bouché et sans avenir.

  • Cependant, pendant toute cette année de découverte, je sentais que je n’étais pas complètement à l’aise, qu’il y avait quelque chose qui coinçait or je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus. J’ai donc pris le temps de m’analyser, de me poser les bonnes questions et d’aller vraiment au fond des choses. Et ce qu’il en est ressorti c’est que je n’étais pas complètement épanouie à l’idée d’être libraire ou même de créer ma librairie car j’avais à ce moment-là, besoin de liberté, de mouvement et de pouvoir être là où je voulais, quand je voulais. Or c’était impossible avec une librairie en physique. Mais au moins cette année dans la librairie m’a permis de ne plus avoir ce regret d’adolescente puisque j’avais pu le tester vraiment dans la réalité ce rêve et de me rendre compte que ce n’était plus fait pour moi.

  • Après cette découverte un peu déstabilisante même si elle était juste, j’ai osé faire un coaching personnel d’environ 5-6 mois pour me poser d’autres questions, d’aller encore plus en profondeur sur mes besoins, mes envies, mes contraintes et autres, pour mieux me comprendre et savoir ce qui était fait pour moi, ce dont j’étais capable de nouveau d’offrir aux autres.

  • Finalement, c’est le magnétisme qui est apparu comme l’activité faite désormais pour moi même si c’était un vrai challenge comme devenir auto-entrepreneuse, après presque 20 ans en tant que salariée ou en CDD. Or, c’était vraiment ce qui me convenait, ce qui me permettait de prendre soin de moi puis des autres car si je prenais soin de moi et de mon énergie, forcément ça allait se ressentir sur les séances que j’allais donner, proposer à mes clientes. En effet, il faut prendre soin de soi pour pouvoir offrir le meilleur à ses clientes.

 

Pourquoi « Osez une autre voie » est le nom de mon podcast ?

pour celles qui me connaissent et/ou qui ont déjà vu mon site web, vous le savez, c’est ma devise. Elle m’est venue lorsque je faisais un coaching collectif, fin 2019.

OSEZ est un acronyme et ce mot représentait tout ce dont j’avais besoin à ce moment-là.

O = optimisme,

S = sérénité car vraiment j’en manquais.

E = émerveillement

Z = zénitude.
Donc, lorsque je cherchais un nom pour ce podcast, c’est ma devise qui est revenue avec Osez une autre voie. Or cela m’est apparu pertinent et en adéquation avec mon message, pour que vous aussi, mesdames, vous osiez comme moi, quel que soit votre passé, quel que soit votre perfectionnisme, vos habitudes, etc. que vous aussi, vous puissiez oser, oser prendre du temps pour vous, prendre soin de vous, et tout cela avant les autres.

 

Visuel de mon podcast

Quant à mon visuel, c’est une image qui me rappelle l’ouverture, l’ouverture avec le voyage et la sérénité du lieu. C’est un paysage que j’ai pris personnellement en photo lors d’un voyage en Indonésie. C’était très tôt le matin, d’où ces couleurs, juste avant que le soleil ne se lève. J’espère que cela va vous inspirer, cette ouverture, cette voie du possible, que tout est possible que l’on peut changer, quel que soit son âge, quelle que soit sa situation, et se mettre en priorité en prenant soin de soi, pour avoir finalement encore plus de temps d’échange et de qualité avec les autres.

Voilà c’est fini pour aujourd’hui. Et en attendant le prochain épisode ou l’article en lien avec un autre épisode, prenez soin de vous.

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