Bonjour chères audacieuses,

Comment allez-vous aujourd’hui ? J’espère que bien et j’espère que vous avez maintenant connaissance de votre type en Design humain. D’ailleurs comme je suis très curieuse, n’hésitez pas à me mettre en commentaire par mail ou sur Instagram quel est votre schéma/votre type, à savoir manifesteur, générateur, générateur-manifesteur, projecteur et surtout les réflecteurs, comme vous n’êtes que 1%, cela peut être intéressant de savoir s’il y en a quelques-unes parmi vous.

Et aujourd’hui, nous allons complètement changer de sujet puisque j’ai la joie et la chance d’interviewer ma deuxième invitée de ce podcast, Anne Piedallu de « Vraie et Essentielle » qui va nous parler aujourd’hui des couleurs, des matières et des coupes de nos vêtements.
J’ai rencontré Anne via un cercle de femmes et lors de rendez-vous hebdomadaires ou mensuels, peu à peu nous avons fini par échanger et nous rencontrer virtuellement. Puis, j’ai découvert son accompagnement du « Retour à son Essenci’elle »  mais ce n’était pas le moment pour moi. Cependant, je l’ai gardé bien dans ma tête car j’avais déjà l’intuition que j’en aurais besoin ultérieurement. Et effectivement, un an après avoir connu Anne par ce cercle, j’ai fait appel à elle car je venais de me lancer en tant qu’auto-entrepreneuse et en tant que magnétiseuse. Donc, je sentais que j’avais besoin de faire le point sur mes couleurs (en plus, j’avais très envie et j’étais très curieuse de découvrir ce que nos couleurs nous apportaient au quotidien) et c’était aussi le moment de faire le point sur ma penderie car il y avait des choses que je n’arrivais plus à porter. J’ai adoré son accompagnement car cela a été très intéressant, enrichissant et plein de rebondissements pour moi. Mais avant de vous en dire plus, je vais laisser Anne se présenter.

Présentation d'Anne Piedallu

Sophie : Bonjour Anne !

Anne : Bonjour Sophie ! Ça me fait plaisir d’être là avec toi.

Sophie : Merci beaucoup Anne et moi aussi, c’est un plaisir. Est-ce que tu peux nous en dire plus sur toi et te présenter à nos auditrices, nos audacieuses ?

Anne : Avec plaisir. Ce n’est pas très facile de se présenter, je ne sais pas toujours par quel bout prendre les choses, surtout que moi j’aime beaucoup de choses. Je vais commencer par dire que je suis maman de deux enfants et que pendant 19 ans, j’étais enseignante et que mes deux enfants m’ont amenée petit à petit à évoluer. Ils m’aident à grandir et à comprendre des choses sur moi ou des choses dont je n’avais pas forcément conscience à l’époque. Je voyais bien qu’avec mes élèves, il y avait des choses qui me dérangeaient aussi, des espèces de cases, d’étiquettes que l’on met de plus en plus aux élèves dont mes enfants qui ne sont pas rentrés dans les cases de l’éducation nationale. Bref, il y a eu tout un parcours là-dessus et du coup, j’ai cherché à mieux me connaître et puis à être mieux moi-même. Or, pour être mieux, il m’a fallu sortir de l’éducation nationale et faire autre chose. Je faisais plein de formations à côté de mon poste d’enseignante pour comprendre qu’est-ce qui pourrait me plaire, qu’est-ce que je pourrais faire, qu’est-ce que je pourrais apporter, dans quoi j’étais douée. J’ai cherché beaucoup de choses. Et c’est comme cela, que j’ai rencontré l’approche que je vais vous présenter aujourd’hui et avec laquelle je t’ai rencontrée. Cette approche m’a vraiment permise de mieux me comprendre et du coup de pouvoir maintenant apporter aux autres cette connaissance. Je trouve que c’est très, très important de se connaître, de savoir qui nous sommes. Or, parfois, c’est compliqué. Et, trouver quelque chose qui permet de mieux nous connaître, comme tu parlais tout à l’heure du Design humain, qui est aussi une façon de bien se connaître et de savoir comment nous fonctionnons, cela nous donne des pistes. Et, j’aime aussi pouvoir accompagner les autres. J’accompagne surtout les mamans à mettre plus de bien-être dans leur vie, et j’accompagne donc aussi les enfants et les adolescents. C’est pour cela que j’ai plusieurs types d’accompagnement parce que je me dis que s’ils se sentent mieux, qu’ils sont plus épanouis, ils vont apporter leur couleur au monde. Et, je me dis vraiment que si chacun est bien dans sa vie, qu’il fait ce qu’il aime, qu’il sait pourquoi il est doué, il va faire ce pour quoi il est doué, il va se sentir à sa place et donc le monde va changer.
Quand j’étais enseignante, cela me frustrait beaucoup de voir que l’on voulait mettre tous les enfants au même niveau, au même moment. Et de dire que celui qui n’y arrive pas au même moment que les autres, c’est qu’il est mauvais alors qu’en fait, il a juste besoin d’un peu de temps pour cela et qu’il peut être excellent pour autre chose. Or, nous ne le voyons pas car cela ne fait pas partie du système scolaire. Or si chacun savait pourquoi il était excellent et qu’il prenait plaisir à le faire alors le monde serait différent. Il n’y aurait plus de personnes arrivées adultes qui se croiraient nulles.

Anne Piedallu partage son expérience de la formation à l'origine de son accompagnement actuel

Sophie : je suis complètement d’accord. Déjà avec Aline et le Design humain, plus toutes les autres approches que j’ai testées, comme toi, j’avais vraiment besoin de mieux me connaître or ce n’est pas à l’école que nous l’apprenons. On nous éduque, on nous apprend des choses, mais on ne nous apprend pas à nous connaître, à nous découvrir, à découvrir vraiment nos potentiels, même s’ils peuvent évoluer, comme tu le disais, même si nous pouvons avoir des envies qui changent, qui bougent.

C’est important pour moi de se connaître ou de découvrir comment nous pouvons mieux nous connaître aussi. Et c’est pour cela que je suis ravie, après Aline, de te faire découvrir à mes auditrices et aux audacieuses pour qu’elles sachent qu’il y a d’autres manières. Et ensuite, à chacune de trouver ce qui va l’interpeller, le Design humain ou les couleurs, les matières, dont nous allons en savoir plus maintenant. Des approches très complémentaires et très différentes qui permettent de mieux nous connaître. Et cela, c’est vrai que c’est un vrai plus.
Donc, question. Comment as-tu découvert cette formation de S’habiller Vrai et qu’est-ce qui t’a fait oser te lancer dans cette activité et déjà même peut-être oser cette formation plutôt qu’une autre ?

Anne : Moi, j’ai découvert cette formation à un moment où je n’étais vraiment pas très bien, que je voyais qu’il y avait un problème, qu’il y avait un petit décalage dans ma vie. Et, je pense que j’ai découvert par un oracle, l’oracle que la créatrice de la formation a créé. Quelqu’un m’avait offert une carte de cet oracle et elle m’avait parlée. Après, j’ai cherché sur Internet d’où venait cette carte d’oracle et j’ai vu cette formation qui proposait de découvrir les couleurs, matières et coupes de nos vêtements, qui nous correspondent pour être plus alignée avec qui nous sommes et en même temps apprendre à mieux nous comprendre. Donc, j’ai d’abord fait cette formation pour moi en tant que cliente. Et petit à petit, j’ai vu que c’était hyper intéressant, que cela m’avait vraiment permis de prendre du recul alors que je ne suis pas une passionnée de la mode. Et faire les magasins, tout ça, c’est toujours compliqué, (avant, je ne savais pas ce qui m’allait, qu’est-ce qui était utile ou pas) mais aujourd’hui, cela me simplifie la vie puisque nous avons tous un profil de vêtement. Donc, c’est beaucoup plus rapide et même si, je ne vais pas dire encore que j’apprécie vraiment, quand je fais les magasins parce qu’il faut que je me trouve quelque chose, cela va vite parce que je lance mon radar et je regarde s’il y a ou pas mes couleurs. Et, s’il y a mes couleurs, mais que ce n’est pas ma matière ou qu’il n’y a pas ma coupe alors il faut voir. Et donc, quand il y a, j’achète parce que je sais que je ne vais pas forcément retrouver à un autre moment.
Donc, j’ai d’abord fait cela pour moi et cela m’a permis de prendre conscience que quand j’allais à l’école, j’avais mis comme une espèce d’armure car le vêtement, cela dit choses de nous. Il y a ceux qui aiment la mode et puis il y a ceux qui disent oui, c’est superficiel. Mais en fait, cela va dire des choses de nous. Si je suis habillée tout coincée dans mes vêtements c’est parce que je veux me protéger et à l’inverse, si je peux paraître extravagante, c’est parce que je veux me montrer, je veux que l’on me voit. Or, cela se sent quand ce n’est pas tout à fait aligné, cela se voit de l’extérieur.
Or quand nous portons nos vraies couleurs, nous n’avons pas la même énergie. Par exemple, nous sommes beaucoup à mettre du noir. Or le noir va à peu de personnes en réalité. Donc, quand nous mettons nos couleurs, nous n’avons pas la même énergie. Et quand nous portons nos matières, c’est pareil. Par exemple, si j’ai un corps qui est léger (ce qui n’a rien à voir avec le poids), avec une densité légère et que je porte des vêtements lourds, une matière lourde pour moi, toute la journée, alors cela va me plomber, mes mouvements ne seront pas fluides et je serai très fatiguée. Inversement, si j’ai un corps avec une densité lourde mais que je porte des vêtements trop légers pour moi alors, je vais m’agiter inconsciemment car mon corps va chercher les contours pour être maintenu et je vais être aussi fatiguée. J’adore faire ce test-là parce que je prends vraiment conscience de beaucoup de choses. Les matières vont parler un peu de notre corps émotionnel, de comment nous accueillons nos émotions, comment nous vivons les choses émotionnellement. Ensuite, nous avons les coupes de vêtements qui, elles, vont parler de notre corps mental, de comment nous réfléchissons. Moi, cela m’a vraiment beaucoup appris sur moi-même et de comprendre que je ne réfléchissais pas comme tout le monde mais que je n’étais pas éparpillée. Or, je croyais être éparpillée par rapport au autres et notamment ceux qui ont un focus sur une seule chose alors que moi, j’ai tout le temps plein d’idées mais non c’est mon profil qui est comme cela et c’est OK car cela nous permet de créer des liens entre plein de choses et c’est ainsi que j’ai vu des points positifs de cet aspect-là de moi.
Quant aux couleurs, cela va vraiment être quelle lumière nous avons en nous et c’est ce qui habille notre corps physique. C’est vraiment, la première chose que nous voyons de nous. Or quand nous sommes dans nos couleurs, nous avons plus d’énergie ; dans nos yeux, cela va pétiller, nous allons être plus présente. Alors qu’avec certaines couleurs, les cernes vont ressortir, nous allons nous sentir et paraître fade, gris.

Sophie : Et qu’est-ce qui t’a permis d’oser ce pas ? Parce que nous avons compris que tu étais dans l’éducation nationale et que tu te posais beaucoup de questions, qu’il y avait déjà des choses qui ne te convenaient plus. Du coup, tu fais cette formation d’abord pour toi. Or qu’est-ce qui t’a permis ? Qu’est-ce qui t’a fait que tu as osé te lancer, te dire ça y est, c’est maintenant que je l’ai compris, que je l’ai vécu et expérimenté, que j’ai envie d’en faire profiter les femmes et les adolescents ?

Anne : Alors là, comme je ne crois pas au hasard, vois-tu, cela a été comme une espèce de concours de circonstances qui ont fait que je me suis dit, c’est le moment. Je cherchais à sortir de l’éducation nationale, nous étions, après le confinement de 2020 et à ce moment-là, l’éducation nationale a testé la rupture conventionnelle. Enfin, si on pouvait déposer un dossier, une demande de rupture conventionnelle, c’était à l’essai en fait. Ils voulaient voir ce qui allait se passer. Or pas longtemps après, j’ai été contactée directement par la personne de cette formation car j’avais fais beaucoup de recherche et j’avais beaucoup visité et cliqué sur les liens. Et je me suis dit, ah ben c’est bizarre quand même. Donc, elle me recontacte, les lieux de stage étaient tout à côté de chez moi et il y avait eu plein plein de choses qui s’étaient alignées. Donc, je me suis dit, c’est le moment car j’avais besoin d’un projet pour pouvoir déposer ma rupture conventionnelle. Donc voilà, c’est comme cela que j’ai fait le pas.

Sophie : Wow, j’adore. Et comme tu le disais, j’adore ces synchronicités, ces hasards de la vie qui ne sont pas des hasards, moi que j’appelle plus des synchronicités, comme la carte de l’oracle qui était venue par ton amie. Et cette approche aujourd’hui, est-ce que c’est quelque chose que tu gardes complètement ou tu lui as mis ta touche personnelle ?

Anne : Oui, alors au début, c’était figé et pendant un an, j’étais ambassadrice et c’était très cadré. Et puis, elle a vu que cela ne permettait pas à chacune de rayonner comme elle le voulait. Donc, maintenant, nous pouvons faire comme nous voulons. Moi, je continue de garder vraiment les protocoles tels que je les ai appris, parce que les méthodes permettent vraiment de découvrir les couleurs de la personne, ses matières et ses couleurs. Par contre, il y a une séance en plus, qui s’appelle la boussole intérieure, où vraiment, pour moi, c’est ma séance préférée car c’est là que l’on apprend qui nous sommes et comment nous fonctionnons. C’est un peu le Graal de tout le protocole, car nous comprenons plein de choses sur nous, nous comprenons tout ce que cela dit de nous, ce que les autres perçoivent de nous. Là, c’est vraiment très intéressant. Et nous pouvons ajouter ces petites choses personnelles. Moi, j’aime beaucoup les huiles essentielles, donc je les rajoute. Quand je fais mon offre, il y a plusieurs formats possibles soit en individuel soit en week-ends soit en collectif. Il y a plein de formats possibles. Tout est possible, en vrai.

Information sur son accompagnement « Retour à son Essenci'elle » et ses coordonnées

Sophie : si je comprends bien, tu nous as donné quelques idées d’accompagnement. Et, je ne sais pas si tu voudras nous redonner un petit peu plus d’informations sur ton accompagnement avec le processus, mais tu parlais en introduction que ta cible, c’est surtout les femmes et notamment les mamans, mais est-ce qu’il y a aussi pour les adolescents ? Est-ce que cet accompagnement sur les couleurs, les matières et les coupes, c’est pour, on va dire, des adultes ou est-ce que cela peut être aussi pour des adolescents ? Comment, toi, tu le proposes et tu le vis aujourd’hui ?

Anne : Pour l’instant, je fais plutôt les femmes même si j’ai fait une fois une adolescente, dans la haute tranche de l’adolescence. Je pense qu’il faut quand même laisser un peu de temps, que la puberté soit mise, parce que la taille, et autres, cela va dire des choses quand même.

Mais cela peut être une bonne idée, je trouve, de ne pas attendre 40 ans pour faire le test. Les enfants de maintenant sont de plus en plus éveillés, conscients de leurs émotions et de ce qui leur convient ou pas ; ils savent très bien dire que cela, non, cela ne leur plaît pas et « pourquoi je dois faire cela comme tout le monde alors que moi, je n’ai pas envie »), ce qui n’était pas le cas, je pense, de notre génération.

Sophie : Complètement.

Anne ; C’est cela, nous rentrions plus dans le moule et nous n’avions pas trop de discussions possibles. Donc, je me dis, si nous pouvons leur faire gagner 20 ans, c’est bien.

Sophie : j’entends qu’il faut avoir au moins 20 ans, on va dire, 20-21 ans mais cela peut se faire à tout âge, mesdames, parce que moi, je l’ai fait, quand j’avais 46 ans. Mais effectivement, je suis d’accord  avec toi, je l’aurai eu même ne serait-ce que 10 ans avant, cela m’aurait fait quand même gagner pas mal de temps.

Anne : Après, tu vois, par exemple, le protocole des matières, je trouve que le faire aux enfants qui sont hyper sensibles aux matières, qui n’aiment pas les étiquettes ou les choses qui grattent, cela peut être bien de tester, juste les matières pour se rendre compte que c’est plus ce genre de tissu qui lui convient car cela va expliquer ce dont il a besoin, ce qui le ressource. Or, cela peut être utile pour ces enfants. En plus, moi, j’aime bien accompagner des enfants un peu atypiques (même si je n’aime pas trop mettre une étiquette, ceux qui sont un peu différents, qui ne vont pas rentrer dans la case facilement) pour leur trouver des solutions.

Sophie : merci pour cette précision. Voilà, s’il y a des mamans, qui ont des enfants où il y a des problématiques avec les matières et les tissus, faire peut-être un premier bilan pour voir ce qu’il en est et découvrir ce qui convient mieux pour l’enfant est une bonne idée. D’ailleurs, pour l’avoir fait, ce test des matières, c’est très intéressant et ce fut très challengeant en tout cas pour moi même à 46 ans. Je vous invite à y réfléchir. Et, en tout cas, si cela vous a titillé, que vous sentez qu’il y a quelque chose suite à cette interview avec Anne, n’hésitez pas à y réfléchir et à aller voir son site internet https://www.vraie-et-essentielle.fr/.

Est-ce que tu aurais d’autres choses à préciser sur ton processus en trois étapes ?

Anne : Globalement, j’ai suffisamment donné les grands principes et les grands contours, parce qu’effectivement, avec le sur mesure, cela va être difficile de présenter tous les cas. Les grands principes, c’est-à-dire les trois protocoles sont les couleurs, pour savoir, si nous sommes plus d’une lumière chaude ou froide. Puis après, dans les lumières chaudes, il y en a plusieurs, si nous sommes plus en profondeur ou si plus pétillant, c’est-à-dire vif ou argenté, si nous sommes plus dans les couleurs douces ou les couleurs intenses. Ensuite, la matière va être associée aux quatre éléments (l’eau, la terre, le feu et l’air). Et du coup, j’ai plein de capes de matières différentes à tester, pour connaître notre élément principal puis les petits sous-jacents. Et ensuite, les coupes pour lesquels, il y a  trois profils possibles, cela va être plus la géométrie sacrée du corps. Donc, il y a losange, ligne ou cercle et cela va dire notre façon de réfléchir, de voir le monde.
Or quand nous nous connaissons, c’est vraiment intéressant de se dire qu’il y a des personnes qui voient différemment de nous. D’ailleurs, je l’ai fait à mon mari. Et savoir que la personne avec qui nous vivons, ne voit pas comme nous, cela nous permet de comprendre des choses et c’est cela qui compte.

Sophie : Oui, je suis complètement d’accord avec toi. C’est très intéressant de découvrir comment nous fonctionnons. Et la boussole intérieure, comme tu l’appelles, cela a vraiment été le vrai plus. C’est la touche finale qui résume et donne tout le sens à cet accompagnement.

Est-ce que tu aurais quelques informations complémentaires car nous arrivons sur la fin de cet interview ?  Est-ce qu’il y aurait d’autres points que tu voudrais préciser avant de conclure ?

Anne :  non. Je m’adapte aux personnes, cela va être plus au cas par cas et en fonction des besoins des personnes.

Sophie : De toute façon, voici tous tes liens pour te retrouver, ton site web pour aller voir tes accompagnements, regarder, lire les témoignages,… https://www.vraie-et-essentielle.fr/

Instagram : vraie_et_essentielle

Facebook : Vraie et Essentielle

Et surveillez les synchronicités car moi, cela peut être via un livre, pour Anne, une carte d’oracle. Donc, mesdames, soyez vraiment ouvertes.

Livre partagé par Anne Piedallu et conclusion

Sophie : Est-ce que tu aurais une autre question ou point à ajouter ? Ou est-ce que je peux te poser ma dernière question ?

Anne : On peut y aller pour la dernière question.

Sophie : Et bien, parfait. Ma dernière question, c’est est-ce que tu aurais un livre à nous partager ? Et si oui, pourquoi ?

Anne : Alors, comme livre que j’ai beaucoup aimé, c’est « L’effet cumulé » de Darren Hardy, sûrement que tu connais déjà ?

Sophie : Et non, je ne le connais pas même si je lis beaucoup. Je suis ravie de découvrir ce nouveau livre.

Anne : C’est un livre de développement personnel en fait, qui explique comment chaque petite action, chaque choix a un impact sur sa vie. Il donne vraiment plein d’exemples et même quand nous ne choisissons pas, ou que l’on croit ne pas choisir et bien en fait, c’est quand même un choix. Et il propose des petits choix, des petits pas que l’on peut faire tous les jours même si cela peut paraître dérisoire. Or, l’effet cumulé justement, va faire que cela va changer notre vie. Il donne vraiment des exemples et rappelle que des fois, au bout d’une semaine, il n’y a pas de changement, c’est pour cela que nous abandonnons au bout d’un mois. Or, souvent, il faut 18 mois. Et, à 18 mois, c’est exponentiel. Et du coup, d’un coup, les résultats sont vraiment très différents de celui qui a fait le non-choix ou qui a choisi autre chose. Donc, c’est très, très intéressant de voir comment changer de toutes petites choses dans sa vie peut avoir un impact vraiment différent. Alors des fois, oui nous sommes pressées,  nous avons envie que ce soit tout de suite. Mais en vrai, si on ne fait pas un choix maintenant, dans un an, nous serons encore au même endroit, voire nous aurons encore descendu en énergie car nous aurons perdu espoir. Alors qu’en mettant de toutes petites choses en place, c’est possible. Il est vraiment très, très bien celui-là. J’adore.

Sophie : Merci beaucoup. Je suis aussi partisane du petit pas avec mon ancienne casquette de la qualité (pour habituer, pour mettre en place de nouvelles choses, c’est de faire des petits pas). Et oui, je suis d’accord, les petits pas cumulés, et bien effectivement, cela fait des grands pas à la fin.
Et je suis d’accord aussi avec toi, ne pas choisir, c’est un choix parce que nous avons le choix de changer ou de ne pas changer. Donc, le non-choix est un choix en lui-même. Anne, je te remercie pour cette interview. J’ai été ravie de te revoir et je te remercie encore pour toutes ces explications. J’espère que nos audacieuses et nos auditrices auront découvert une nouvelle pratique, une nouvelle façon de se découvrir qui est pour moi assez peu connue, qui est vraiment très différente de toutes les approches de connaissance de soi. Donc, j’ai été ravie de faire découvrir cette discipline, cette nouvelle connaissance de soi. Et comme toi, sans être obsédée par la mode car j’ai toujours des difficultés à aller faire du shopping, mais se connaître, connaître les matières, les coupes et les couleurs qui nous vont bien, c’est un vrai gain de temps pour soi. Et c’est aussi important pour notre énergie, notre vitalité du moment. Donc, merci beaucoup Anne.

Anne : Merci Sophie.

PS : Si vous voulez écouter cet épisode ou le réécouter, vous le pouvez sur votre plateforme préférée (Apple podcast, Goodpods, Amazon music, Castbox, Spotify https://open.spotify.com/episode/6IfJClFCA2m2Wcd3Z7Ea9T?si=2370f8c7a2d44837, Deezer, YouTube) en tapant Osez une autre voie. Bonne écoute.

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