Bonjour les audacieuses,
J’espère que vous allez bien, que vous continuez à prendre soin de vous, que vous commenciez ou que vous alliez encore plus loin.
Aujourd’hui, c’est une halte en gare avec deux livres, même si au début, je pensais faire plutôt mon 40e épisode et le dédier aux femmes, faire une ode aux femmes. Finalement, je l’ai transformé en halte en gare et toujours pour vous les femmes.
Rituel du slow train pour se poser
Comme toujours et avant de commencer sur ce sujet, je vais continuer avec notre rituel pour bien commencer, pour vous mettre dans cet état d’esprit que vous faites une pause pour vous, que vous prenez un temps pour vous. Je vous invite à monter dans mon slow train, à trouver votre posture et déjà trouver le fauteuil, le canapé, le siège dans lequel vous allez vous asseoir ou vous allonger, en tout cas, trouver la posture idéale pour vous aujourd’hui, qui vous convient le mieux par rapport peut-être à des inconforts, afin de pouvoir détendre au mieux et au plus ce corps pour que le mental aussi puisse se poser. Expirez, lâchez, mettez de côté en visualisant ou en faisant un geste comme quoi vous mettez de côté vos soucis, vos problèmes, les idées, les ruminations et autres qui tournent dans votre tête, juste le temps de cet épisode. Puis, vous y reviendrez après ou pas, selon ce qui reviendra. Là, c’est un moment pour vous de pause et de détente aussi bien du corps que de l’esprit.
Prenez encore une ou deux respirations longues ou courtes, comme c’est le plus simple et le plus confortable pour vous, voyez comment votre corps se détend ou vous le ressentez plus détendu, écoutez-le, voyez ce qui se passe en vous. Et, si c’est ok pour vous alors on passe au sujet d’aujourd’hui et sinon mettez sur pause.
Journée mondiale de la femme ==> Ode aux femmes, célèbrons-nous
Aujourd’hui, je profite que la sortie de cette halte en gare soit la veille de la journée internationale de la femme et même des droits de la femme pour faire une dédicace spéciale aux femmes. C’est pour cela que je l’ai appelée Ode aux femmes. Et oui, j’ai envie de vous célébrer chères femmes, mesdames, mesdemoiselles, peu importe le statut que vous avez. C’est l’occasion, pour moi, de nous fêter, de se fêter, de vous fêter et de vous remercier car vous êtes 88% d’auditrices, que comme mes clientes, vous êtes plus de 80-90% de mon audience et je vous en remercie. C’est l’occasion aussi, pour moi, non seulement de vous remercier mais de vous inviter aussi à vous célébrer, à vous fêter, à vous remercier, à vous dire bravo, félicitations. Oui, faites le car nous y pensons peu, voire pas du tout ou même si nous y pensons, nous n’osons pas le faire, car c’est quelque chose qui est souvent difficile de se féliciter soi-même. C’est pour cela, aujourd’hui, toute seule, dans votre timidité, dans votre petit coin, peu importe ou que vous soyez, félicitez-vous, célébrez-vous, prenez ce temps pour vous dire bravo, oui vous êtes audacieuse ou future audacieuse ou encore timide, curieuse, perfectionniste, même si vous passez votre temps à vous occuper des autres, que vous n’osez pas dire non, stop, vous êtes déjà courageuse, à l’écoute, avec de l’empathie, de la compassion, le sens du soin, du service aux autres, …, vous êtes déjà merveilleuse, fabuleuse, géniale, vous êtes des femmes et merci d’être là car nous avons besoin de vous. Et, même si vous vous sentez inutile, ne faites pas grand-chose, selon vous. NON, même le colibri dans la forêt en plein incendie a son rôle à jouer, que vous soyez connue, pas connue, OUI vous participez au monde, vous contribuez au monde, même si c’est une toute petite ou infime part, selon vous, que c’est l’impression que vous avez, OUI vous contribuez au monde, à son amélioration, à sa douceur, à cette empathie, cette féminité et autres qualificatifs du féminin, alors soyez-en fiers, célébrez-vous et je vous dis encore merci.
Le livre La lignée d’Aurélie Valognes
Je dédie aussi cette halte en gare à ma lignée, aux femmes avant moi. Et, pour cela, c’est le livre de Aurélie Valognes « La lignée » qui m’a émue, que j’ai lu et découvert l’année dernière, qui a beaucoup résonné en moi, que j’ai choisi pour cette Ode aux femmes. Je la remercie et je remercie aussi mes arrières-grands-mères, surtout que j’ai pu connaître mes deux arrières-grands-mères paternelles, ainsi que mes deux grands-mères et même cette arrière-grand-mère maternelle que j’essaye de retrouver car j’ai son acte de naissance mais je ne retrouve pas son acte de décès, ce qui paraît incroyable alors que du côté de mon père j’ai pu aller très loin. Or, du côté de ma grand-mère maternelle, je bloque sur cette femme, sur cette arrière-grand-mère dont je ne connais ni le lieu de décès ni la date. La généalogie, c’est en amatrice que je le fais, et j’avais commencé en plein Covid, car ce fut une révélation pour moi, j’avais besoin de savoir, suite au décès de ma grand-mère paternelle, comment étaient mes arrières grands-parents maternels, leurs lieux de naissance, de décès, leurs professions,… J’essaye, petit à petit, de trouver des indices qui pourraient m’aider à retrouver cette arrière-grand-mère, car même si je ne l’ai pas connue, nous sommes nées à un siècle d’écart et pour moi, forcément, il y a une synchronicité, une envie d’en savoir plus sur elle. Il y a un lien, même avec des inconnues, la preuve, c’est que des écrivaines que je ne connais pas, qui écrivent sur d’autres histoires, sur d’autres femmes, cela peut me toucher, me concerner, m’émouvoir. Donc, OUI, je remercie cette lignée, toutes ces femmes, que ce soit du côté de mon père ou de ma mère, sur ces deux lignées. MERCI à elles, car elles ont œuvré, même à leur échelle, même si elles n’étaient pas féministes, même si elles n’ont pas forcément fait de grandes choses, marqué l’histoire, grâce à elles, à leur présence, je bénéficie de droits, de liberté, beaucoup plus qu’elles et j’ai plus de choix ou en tout cas, que celles qu’elles se sont autorisées à avoir. OUI, nous avons toujours le choix, vous le savez, c’est quelque chose que je vous ai déjà dit, mais oser prendre ce choix, faire des choix, même à l’encontre de ce qui se fait normalement, dans la bienséance, dans la lignée, même si ce n’est pas immoral, le choix que l’on a fait, osons prendre ce temps pour les remercier et pour prendre conscience de tous ces droits que nous avons et pas que des devoirs.
MERCI à elles et à Aurélie Valognes pour son livre « La Lignée ».
Livre L’heure des femmes d’Adéle Bréau
Le deuxième livre qui m’a beaucoup marquée et que j’ai lu, je crois, assez vite après ce 1er livre, c’est celui d’Adèle Bréau, « L’heure des femmes ». Dans ce livre, c’est surtout l’histoire d’une femme qui se bat et qui lutte contre l’injustice et surtout l’ignorance des femmes sur leurs propres droits, sur leur propre sexualité. Ce livre m’a profondément parlé, il a beaucoup résonné en moi, comme le livre d’Aurélie Valognes. Grâce à lui, j’ai eu comme une prise de conscience que oui, il y avait encore beaucoup de choses à faire, à mettre en place, à transmettre, à évoquer, à répéter, car malgré toute l’information dont nous disposons aujourd’hui avec internet, je suis persuadée qu’il y a encore trop de femmes qui ne savent pas ce qu’elles peuvent faire, ce qu’elles ont le droit de faire, les choix qu’elles peuvent faire, de pouvoir oser, oser sans crainte ou avec le moins de crainte possible. Je leur dédie aussi cette halte en gare, si toutefois, à l’occasion, elles ont la possibilité de l’entendre car je sais que j’ai déjà quelques écoutes dans plusieurs pays.
Dédicace spéciale à ma marraine
Je reviens à ma lignée et plus particulièrement à cette tante, ma marraine qui a mis fin à ses jours à cause des souffrances de son cancer et malgré les médicaments. Aujourd’hui, en tant que magnétiseuse, j’ai compris que, même si pendant des années, j’ai culpabilisé de ne pas avoir pu l’aidée, (à l’époque, je n’étais pas du tout consciente du magnétisme que j’avais, de cette possibilité de l’aider autrement que par des paroles, d’être présente à côté d’elle, au moins, avec le téléphone, la soutenir ou au moins l’écouter), aujourd’hui, elle me donne la force, un but et l’occasion de me racheter et de pouvoir proposer aux femmes qui souffrent comme elle, de cancer, de douleurs chroniques et autres, de pouvoir leur dire que oui, il y a les médicaments (20 ans d’amélioration, de nouvelles recherches et mais dans bien des cas, c’est encore insuffisant), et il y a aussi d’autres voies comme le magnétisme pour les aider, les accompagner. Or, c’est dommage qu’il y ait encore trop de femmes, trop de personnes qui souffrent et qui estiment que c’est normal, que cela fait partie de la maladie. NON, vous pouvez moins souffrir, vous pouvez connaître des périodes de répit, de soulagement, plus ou moins long, via le magnétisme ou d’autres thérapies d’accompagnement. Donc, si vous avez envie, si vous sentez que vous avez envie de tester, d’essayer, contactez-moi, car oui, il se peut que je ne puisse rien faire pour vous, qu’il ne se passe rien, oui, c’est une possibilité, mais comme toujours, il y a aussi une autre possibilité, il se peut aussi que j’arrive à vous faire du bien, à ce que vous connaissiez du soulagement, des vrais moments de répit et moins souffrir. Pour moi, NON, ce n’est pas une obligation ni un devoir de souffrir, même avec une maladie.
Voilà, chères auditrices, chères audacieuses, audacielles, curieuses, cette halte en gare est finie. J’espère qu’elle vous permettra de vous poser des questions, d’avoir des déclics et d’avoir envie d’aller lire ces 2 livres.
Pour moi, le principal c’est prenez ce temps pour vous, pour vous célébrer, vous aimer, d’être fière de vous et, pourquoi pas, de votre lignée que vous la connaissiez ou pas ou peu.
Et bien sûr, rejoignez votre communauté (en vous inscrivant à ma newsletter), si vous vous reconnaissez dans ces femmes, que vous avez envie de discuter, d’échanger avec moi, ou au contraire, tout simplement, comme vous le faites déjà de façon anonyme, simplement m’écouter, me lire, bénéficier de l’énergie du groupe. OUI, si vous ne voulez pas participer, rejoignez quand même cette communauté, car moi, j’aurai moins l’impression de parler à des chiffres, à des vues mais beaucoup plus à de vraies personnes, même si vous ne m’écrivez pas, vous n’interagissez pas, ou que vous vous cachiez derrière une photo, un avatar. Osez, venez comme vous êtes.
Prenez soin de vous, et à la semaine prochaine pour un nouvel article.
PS : Si vous voulez écouter cet épisode ou le réécouter, vous le pouvez sur votre plateforme préférée (Apple podcast, Goodpods, Amazon music, Castbox, Spotify, Deezer, YouTube https://youtu.be/K8Nu1rMUosk,…) en tapant Osez une autre voie. Bonne écoute.